[TEST] Death Stranding Director’s Cut

[TEST] Death Stranding Director’s Cut

20/10/2021 0 Par Happy

PlayStation, qui nous régale avec ses exclusivités narratives depuis des années, vient de sortir son 2eme titre « director’s cut« , et nous l’avons tester pour vous.

Death Stranding est sorti initialement sur PS4, le 8 novembre 2019, puis le 14 juillet 2020 sur PC, et viens, ce 24 septembre 2021, de nous sortir sa version complète et exclusif PS5, contenant la totalité du titre original ainsi que de ces extensions et apports.

Notre test s’est déroulé sur une PlayStation 5 classic avec lecteur (console day one), sur la version du jeu 1.002.000, et en démat’.

Le jeu a été installé directement, sur le SSD WD_BLACK™ SN850 NVMe, que j’ai ajouté, en interne, à ma console.

Ce SSD a une vitesse de lecture séquentielle 7000MB/s, ce qui pourrait justifier, que je n’ai rencontré aucun problème de latence, de chargement, ou autre.

Tout d’abord, je souhaite parlé du studio qui produit le jeu, en la présence de Kojima Productions.

Son créateur du même nom, qu’est Hideo Kojima, a créé l’entreprise en tant que studio indépendant, le 16 décembre 2015, et à ce jour le studio n’est pas un studio PlayStation, malgré une belle collaboration, avec ce titre Death Stranding.

L’histoire nous met dans la peau de Sam Porter Bridges, interpreter par l’acteur trés connus Normal Reedus.

C’est un transporteur, vivant dans un monde post-apocalyptique, où la faune et la flore essaye de survivre, tant bien que mal.

Le but est de relier les Etat-Unis au réseau Chiral, en tranportant des équipements, des ressources à travers le pays.

Il existe des ennemis naturels comme des humaines, appelés les mules, mais surtout d’autres ennemis plus coriaces, avec des entités surnaturelles, appélées les échoués.

Ce sont des ennemis imprévisible, très difficile à affronter et qui plus est, sont annoncés et ce combattent sous une pluie acide !

A noter que de tuer un ennemi comme une mule par exemple, est une question existentielle, car la mort d’un humain dans le jeu, devient littéralement, un contre la montre, puisqu’un cadavre devient une bombe nucléaire après un temps précis…alors attention à vos faits et gestes !

Le jeu propose plusieurs modes, tel que le mode Qualité (4K native, 30 FPS) ou Performance (4K upscalée, 60 FPS).

Après 41h de jeu, au moment de l’écriture de ce test, je n’est constaté aucun aliasing, lag, beug, ou problème de texture, ce qui conforte mon avis, sur la qualité du studio et du titre !

Le jeu commence dans un terrain sauvage et hostile, où l’on découvre l’univers magnifique de Death Stranding, mais aussi de ses musiques, qui sont envoutantes et epoustouflantes.

Ludvig Forssell est le compositeur du jeu et connait parfaitement les attentes de Kojima, puisque c’est à lui que l’on doit les bandes originales de Metal Gear Solid V : Ground Zeroes, P.T (la démo du Silent Hills annulé), et Metal Gear Solid V : The Phantom Pain.

Cela explique surement la qualité acoustique comme scénaristique des musiques, qui ont plus qu’un effet sonore : Un vrai récit auditif et un plaisir infini.

Côté casting, le jeu est tout bonnement, un casting 5 étoiles hollywoodien !

Pour accompagner Normal Reedus, le protagoniste principal, nous retrouverons la française et très connus Léa Seydoux, tout comme l’imposant Mads Mikkelsen ou encore le réalisateur Guillermo del Toro, rien que ça !

Niveau accéssibilité, j’ai adoré la manière dont Kojima nous a introduit dans son oeuvre, en nous guidant, dans nos tâches, nous donnant les informations principales mais minimaliste, ce qui nous donne l’impression parfois d’être perdu, sans savoir quoi faire, ou surtout comment le faire…ce qui pourra et qui a dûe surement perdre de nombreux joueurs, puisqu’il faut une bonne dizaine d’heures de jeu, avant de bien avoir assimilés le style de jeu qu’il est, le comprendre, le dompter, et le savourer

Cependant, la physique des impacts entre la roche et nous même (à pied, en moto, camion)…est juste insupportable : le moindre choc nous fait perdre l’équilibre, ou nous stop net…

Les menus du jeu, et des missions n’est pas trés clair et aurait pu être assez facilement plus accessible…

L’évolution et l’avancement dans le jeu, ce fait ressentir, avec l’apport de nouveaux équipements, ainsi que l’amélioration de nos de nos accessoires, le tout couplé avec la communauté du jeu, qui se developpe avec la synchronisation du réseau chiral.

Le jeu est bourré de Easter egg, de clin d’oeil à d’autres jeux, ou même à la culture pop.

Avec les collectibles du jeu, vous aller pouvoir découvrir ce que Kojima vous reserve en surprise, alors chercher bien de partout 😉

Enfin, voilà des captures d’écrans faites par mes soins, afin de vous montrer davantage l’univers du titre en question, suivi de mon let’s play de début d’aventure.

Let’s Play PS5 du jeu Death Stranding

Univers et histoire du jeu

Bande original fabuleuse

Sentiment de progression constante via la communauté

Jeu solo et multi à la fois avec la communauté

La gestion et le choix des equipements capital

Menu du jeu et menus des missions pas clairs

Corosion constante des equipements agacante

La dangerosité de tuer des ennemis

Physique de la conduite et des impacts avec les obstacles

Vidéo lancement du jeu Death Stranding Disponible – PS5 En Français

N’ayant jamais joué au titre auparavant, mon avis sera sur le jeu global et bien sûr de cette version director’s cut.

Death Stranding est un jeu d’auteur, avec la patte très présente et reconnaissable de Kojima, et celle-ci ne laissera pas insensible : Soit vous allez adoré, soit vous allez detester, mais j’insiste sur le fait de ne pas juger le jeu trop vite, de lui laisser sa chance.

Le scénario est exceptionnel, à l’image du casting, et le travail du compositeur Ludvig Forssell est d’une très grande qualité, ce qui forme une cohérance égale aux chef d’oeuvre du 7eme art !

Le coté « jeu communautaire » est essentiel au bon développement de notre partie, que ce soit pour nous aider à avancer plus facilement, ou nous créer des points de passages aussi incontournables qu’éphémères.

Les passages avec les mules sont proches du style de metal gear solid, ce qui transpire la patte Kojima.

Les équipements s’adapte avec l’évolution de notre personnage et de l’histoire, ce qui facilite notre progression (peu-être trop par moment)

Pour ceux qui ont déjà jouer au titre sur PS4, il faudrai être fan pour prendre cette director’s cut, mais l’acquisition pourrai encourager les studios, à laisser plus la parole aux développeurs, ou bien encourager ces même studios à sortir des DLC payant, Pass et autre version director’s cut.

Pour ceux qui n’ont jamais jouer à ce titre comme moi avant : FONCER acquérir ce bijou !

Le jeu est disponible à l’achat ICI

et également

le SSD WD_BLACK™ SN850 NVMe de 1To avec dissipateur ICI

Je remercie également PlayStation France, pour l’exemplaire qu’il nous ont fourni, afin de pouvoir vous faire ce test, et comme vous avez pu le lire…c’était un grand plaisir

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